juin 2014

Le pont se renforce

Avril 2014

Jean-Luc est invité à co-animer un atelier de conception de projets organisé par Luc Ameye, le spécialiste belge en la matière. Un atelier Gestion axée Résultats pour les étudiants de la Haute Ecole Provinciale de Namur, orientation Coopération Internationale. Un moment d’échanges riches. Une confirmation de nos compétences en conception et formulation de projets de développement. De quoi lancer un programme formation-suivi de projets mode coaching. C’est fait !

juin 2014

Le pont prend de la voix.

Le 28 mars 2014

Réunion mensuelle de l’équipe Morena. Merci Skype de nous donner cette opportunité.

Aujourd’hui, le pont Afrique prend de la voix car Natacha et Christine seront avec nous. J’ai eu le plaisir de les présenter. Encore bienvenue, welcome, Karibu …

Si skype veut bien, la semaine prochaine, nous rentrons en contact avec Julia, basée en Ouganda, notre future représentante ? Suspens …

juin 2014

Le pont fait son safari.

12 mars 2014

Premiers contacts avec notre future représentante au Kenya : Christine. Elle est emballée, elle est emballante par son écoute, sa disponibilité. Elle n’est pas coach mais a été coachée par Marie-France, elle sait donc ce que coacher veut dire. Bienvenue dans l’équipe. Au plaisir de publier ta bio et tes photos et, au grand plaisir de démarrer notre collaboration et de te retrouver en juin pour un safari dans le monde du coaching au Kenya.

juin 2014

Tous sur le pont !

Février-mars.

Un voyage en Afrique, ça se prépare. Marie-France, François et Jean-Luc sont sur le pont. Avec toute la passion qui l’anime, Marie-France anime nos réunions en vue d’élaborer des supports, des offres adaptées et une stratégie d’approche sur place. Natacha sera notre consultante de terrain pendant que les contacts se poursuivent pour trouver nos représentants/tes Rwanda, Ouganda et Kenya …

juin 2014

Le pont Afrique arrive … en Afrique.

11 et 12 février,
premiers échanges par skype avec nos futurs représentantes Burundi et Rwanda.
De superbes retours de leur part. Natacha insiste sur le besoin de qualité et accueille avec joie notre ouverture aux autres et à leurs réalités. Elle a tout de suite compris que nous étions en train de construire quelque chose ensemble et qu’elle ferait entièrement partie, comme nos futurs clients, de cette construction.
Candide est enchantée du positif de nos actions. Elle rêve d’un monde meilleur fait de gens meilleurs.

Malheureusement, Candide se retirera quelques jours plus tard pour la simple raison qu’elle estime ne pas avoir beaucoup de temps à nous consacrer cette année. Elle nous laisse pas mal de contacts et la promesse d’être là à nos côtés. Merci à toutes les deux.
D’autres contacts sont pris au Rwanda,

Le profil de Natacha sera sur le site Morena. Les pages Afrique s’ouvrent…

mai 2014

Le pont sur l’Afrique décolle

31 janvier 2014

Les tickets sont achetés. Jean-Luc Pening et François Kaisin seront bien en Afrique en juin pour établir les premières bases de leur pont. Un programme ambitieux : du 5 au 8 juin, ils seront à Kampala (Ouganda), du 9 au 13 à Kigali (Rwanda), du 14 au 21 à Bujumbura (Burundi) et du 22 au 25 à Nairobi (Kenya) …

Un programme fait de découvertes, de rencontres … A ce propos, si vous avez des contacts là-bas, faites-nous signe !!!

Parallèlement à cela nous décidons de développer notre communication en garantissant un suivi régulier de chacune des étapes de la construction de nos ponts internationaux sur nos sites et pages. Vous savez où nous trouver

Etre axés résultats concrets, n’est-ce pas une caractéristique du coaching ?

mai 2014

Dupont, Dupond et du ciment

24 janvier,
réunion mensuelle de l’équipe Morena via Skype. Les nouveaux se présentent, chacun parle de ses ambitions, de ses expériences, de ses rêves .

Jean-Luc se présente :
"Je suis le responsable du pont sur l’Afrique …"

Yves réagit et demande : Dupont avec un t ou Dupond avec un d ?

L’aventure Morena au Congo est partie comme Tintin l’a fait en son temps.

Toute l’équipe s’enthousiasme pour le projet. Yves y apporte sa maîtrise de la gestion des conflits, Sophie sa créativité et son approche de la culture comme moyen de développement, Irma sa multiculturalité …

Toute l’équipe est sur le pont, les liens se cimentent.

Savoir fédérer des équipes et des groupes, n’est-ce pas une caractéristique du coaching ?

mai 2014

Un pont sur l’Afrique : un peu de ciment

La stratégie pour l’Afrique se met en place. Jean-Luc Pening est "nommé "Coach Developper pour l’Afrique des Grands Lacs" et une première stratégie est mise en place.
Là-bas il nous faudra présenter Morena, parler du coaching, donner quelques exemples d’applications pour les entrepreneurs privés, quelques exemples d’application pour les acteurs du développement, quelques exemples des ateliers et formations que Morena dispense et surtout il faudra être à l’écoute des besoins et des demandes sur le terrain … Un beau programme, non ? L’idéal étant d’arriver à mettre en place un réseau de correspondants dans chaque pays visité …

Savoir se fixer des objectifs, n’est-ce pas une caractéristique du coaching ?

mai 2014

Un pont sur l’Afrique : Deuxième brique

22 janvier 2014.

L’ambition de Morena Coaching est de créer un réseau de coachs professionnels accrédités dans un maximum de pays. Mais comment faire là où le coaching n’est pas encore suffisamment développé ?

Jean-Luc et François prennent les premiers contacts sur le Rwanda et le Burundi pour avoir, là-bas, des représentants et représentantes aptes à multiplier les contacts et les échanges de terrain. La brique de Kigali est déjà presque installée, merci Candide. On attend une réponse de Bujumbura.

Avec des représentants /correspondants sur place dans chaque pays, nous serons certains d’être parfaitement à l’écoute des besoins et réalités du terrain.

Etre toujours à l’écoute, n’est-ce pas une caractéristique du coaching ?

mai 2014

Un pont sur l’Afrique ???

Lundi 20 janvier 2014,
François Kaisin rend visite à son nouveau partenaire Jean-Luc Pening à Bruxelles.

Une réunion prise de contact, une visite amicale avec présentation d’Antoinette, l’épouse d’origine rwandaise de Jean-Luc et de leurs enfants.

10 h : Jean-Luc Parle de ses expériences professionnelles dans l’Afrique des Grands Lacs entre 1985 et maintenant. Période durant laquelle il a été expert FAO, consultant, entrepreneur et chargé de programme d’ONGs dont il était co-fondateur. Son épouse et lui parlent de leur désir de retourner s’installer prochainement au Burundi. Dans le même élan, jean-Luc partage sa vision du coaching et s’étend sur le fait qu’il est persuadé que le coaching est un outil puissant qui ne peut que servir au développement humain durable du continent à travers l’accompagnement des entrepreneurs et de tous les acteurs du développement.
François l’écoute intéressé, il ne connaît pas l’Afrique mais se sent attiré.

12 h, après un sandwich américain bien belge, François s’isole avec sa connexion Skype pour un coaching sur l’Argentine.

14 H 30 : Les échanges reprennent et tout s’enchaîne : c’est décidé, François et Jean-Luc partiront en juin dans l’Afrique des Grands Lacs pour évaluer les besoins en accompagnements et formation et pour offrir les services de coach du réseau … Le pont Afrique de Morena est lancé.

Savoir se mettre en actions, n’est-ce pas une caractéristique du coaching ?

mai 2014

Article Oscar 2011

Un coach aux Oscars ?

Impossible de résumer en deux mots un parcours qui passe du métier d’ingénieur agronome à celui de coach professionnel nominé aux Oscars en passant par un accident dont on ressort définitivement aveugle.

Mais la réalité est là. Après avoir vécu les merveilles de l’Afrique, j’en ai été la victime. Une balle dans la tête et j’ai perdu la vue il y a quinze ans. La rencontre avec un coach et les formations qui ont suivi m’ont ouvert les portes du coaching. La nécessité de partager mon besoin de construire ?

C’est un concours de scénario de court-métrage organisé au Burundi (où j’ai participé au lancement d’une ONG) qui m’a poussé à écrire un scénario de film. Ce sont mes expériences de vie au Burundi et au Rwanda et l’analyse qu’en font les médias occidentaux qui m’ont poussé à y dénoncer l’absurdité des luttes ethniques et de toute forme de racisme. Après j’ai soumis le texte à un ami d’enfance devenu réalisateur … Et trois ans après, le résultat est là. Le 27 février j’étais avec lui sur le fameux tapis rouge d’Hollywood au milieu des stars dans les paillettes et le noir. Nous n’avons pas eu de prix malgré le soutien des professionnels. Hollywood fait du busines pas de l’humanitaire. Peu importe, notre objectif n’était pas de recevoir une statuette mais bien de vivre une aventure humaine riche et de faire passer le plus largement possible un message humain de tolérance. Objectifs atteints, dépassés.

Je n’ai pas de théories sur le coaching à vous transmettre.  Je peux simplement confirmer que oui, tous les obstacles sont franchissables, que, oui, rien n’est impossible et je ne peux que vous encourager à continuer à avancer pas à pas en ayant confiance en vous et en la vie.

Et si nous , les coachs, pouvons par le coaching ou par notre vie même aider d’autres à vivre et à déplacer les montagnes, que demander de plus ? Pouvoir un jour dire, comme l’autre : « ma vie est mon message » ?…

Je vous souhaite à tous un excellent parcours. Allez-y.

Jean-Luc Pening ACC

www.na-wewe.com

avril 2014

Un tandem Pourquoi ?

 

Un tandem pour voir plus loin …

 

En choisissant le tandem comme symbole de mon coaching, je ne pensais pas qu’il allait me mener si loin …

Dès que je me suis lancé dans le coaching, je me suis dit qu’il fallait que j’aie un logo, un symbole. Mais lequel ? J’ai longtemps cherché pour finalement tomber sur l’évidence. Mon symbole était dans mon garage, là, sous mes yeux et parfois sous mon nez et sous mes fesses: mon tandem. Mon outil de promenade et de partages depuis que je suis aveugle.

Oui c’était bien le symbole du coaching  avec le coaché devant comme pilote et le coach derrière comme co-pilote. Le coaché qui donne l’impulsion et la direction à suivre et le coach pour soutenir l’effort et surtout garder la tête hors du guidon. La position idéale pour prendre du recul et voir plus loin …

J’ai donc pris l’habitude de monter en tandem avec mes clients même si le tandem restait virtuel et que mon objectif restait toujours de laisser mon client partir seul le plus vite possible. Jusqu’au jour où j’ai été contacté par le célèbre présentateur belge Adrien Joveneau pour participer à son émission « le Ravel du bout du monde ». Une émission télé et radio annuelle qui emmène, depuis dix ans,  des auditeurs, des journalistes, des vedettes et un témoin d’une action en faveur des handicapés à découvrir un pays du bout du monde en vélo. Il m’a proposé de partir avec eux … en tandem. Tiens tiens! Et en plus avec ma fille comme pilote ! Beau partage. Que demander de plus ?

J’ai tout de suite dit oui d’autant plus que la destination 2012 était le Burundi, petit pays d’Afrique centrale que je connais très bien pour y avoir longtemps vécu le meilleur et y avoir dépassé le pire.

Nous sommes donc partis la première semaine d’octobre  avec équipes télés, journalistes et Axelle Red et Jali comme vedettes. Nous étions une quarantaine de cyclistes blancs à avaler tant bien que mal les mille et une collines de ce si beau et si pauvre pays. Tous ont été marqués par la quantité de sourires qui nous ont accompagnés tout au long des 600 kilomètres parcourus. Quel accueil ! « Mais comment font-ils ? Nous avons tout et nous râlons tout le temps, ils n’ont rien et ils sont toujours gais et souriants … ». Où est l’erreur ? « Même chose avec ces handicapés qui sourient tout le temps. « Faut-il avoir connu le pire pour trouver un épanouissement ? ». Impossible de sortir d’une telle aventure humaine sans se poser des questions fondamentales.

Mais mon tandem n’allait-il pas devenir simplement le symbole d’un défi sportif et familial ? Pour moi il était impossible d’imaginer repartir du Burundi comme un voleur avec le cœur plein mais sans y avoir laissé quelque chose. C’est ainsi que nous avons lancé l’opération « Donne à voir » de récolte de fonds pour aider les enfants handicapés de la vue d’une petite école du Burundi à avancer dans leurs études, dans leur autonomie et dans leur intégration sociale. Et beaucoup de gens ont répondu à l’appel. Merci à eux, merci à vous.

Quels moments magiques ! L’accueil dans cette école par des chants. L’ouverture « à tâtons » des colis contenant les instruments de musique que nous leur avions apportés, la joie bruyante de la découverte de tous ces instruments et, le dernier jour, la fierté de chanter sur scène leur composition « Comé Lézotré  » au stade de la capitale devant un public international et des autorités.

Et il y en a qui se demandent pourquoi je cours ainsi tout le temps à travers tout. Pourquoi rester assis chez soi quand on peut vivre tant d’émotions fortes ? Quand on peut recevoir le merci d’un enfant ? quand  on peut le voir s’épanouir dans ses talents ?

On s’éloigne du coaching pur ?

Pour moi le coaching c’est contribuer, même modestement, au développement et à l’épanouissement d’êtres humains. Alors pourquoi ne pas ajouter à nos traditionnels outils de coach un tandem, un instrument de musique, du respect, de l’abnégation  et beaucoup d’amour ?

qu’en pensez-vous ? On fait un tour en tandem ?

 

Jean-Luc Pening PCC www.tandemcoach.net

Pour participer à l’action « Donne à voir » et suivre le récit du Ravel voir http://donnavoir.wordpress.com

avril 2014

Un article paru dans le journal LE SOIR, journal le plus lu en Belgique (mai 2011) :

Jean-Luc Pening, l’aveugle qui donne à voir

L’homme qui a reçu samedi le prix du public au festival du court-métrage de Bruxelles n’a jamais vu le film récompensé. Et pour cause. Si Jean-Luc Pening affichait sur la scène du cinéma Vendôme un sourire figé derrière ses lunettes noires, c’est qu’il est aveugle. Mais c’est aussi parce qu’il ne voit plus que Na Wewe a vu le jour. Tel est le titre de cette fiction de 18 minutes. Ça veut dire : Toi aussi en kirundi. Et c’est une ode à la différence.
Jean-Luc Pening, l’aveugle qui donne à voir
Le Belge Jean-Luc Pening, coscénariste du film « Na Wewe », d’Ivan Goldschmidt, sur le tournage, au Burundi © Philippe Vdd
PORTRAIT
L’histoire se passe au plus fort de la guerre civile qui a ravagé le Burundi des années 90. Un drame en partie éclipsé par le génocide rwandais, qui puise ses racines dans les mêmes haines ethniques. C’est le sujet abordé par le film, qui ose le traiter avec humour et dérision. En mode surréalisme à la belge. Pour montrer que les distinctions raciales qui opposent si souvent les humains n’ont pas le moindre fondement.
Jean-Luc Pening n’est pas le réalisateur de Na Wewe, tourné et produit à bout de bras par le Belge Ivan Goldschmidt (retenu en Thaïlande). Il en est l’inspirateur et le (co)scénariste. Et si sa modestie l’empêche de revendiquer quelque honneur que ce soit, il ne peut s’empêcher d’y déceler un clin d’œil du destin. Ce destin qui l’a laissé pour mort sur une route près de Bujumbura…
C’était en 1995. Après un début de carrière en Afrique pour des institutions onusiennes, cet ingénieur agronome ULB s’est installé au Burundi en 1992 avec son épouse rwandaise. « C’était encore le paradis ». Il exporte des plantes ornementales. Survient l’attentat contre l’avion des présidents Habyarimana et Ndadaye. Les tensions ethniques s’intensifient, la guerre civile explose, Jean-Luc et sa femme choisissent de rester avec leurs enfants. Jusqu’au drame, le 24 août.
Une balle dans la tempe.
Revenant de sa plantation, le Belge est suivi par un camion militaire qui précipite sa voiture dans le fossé. Un soldat sort, s’approche, lui loge une balle dans la tempe. A bout portant. Les paras de l’ambassade de Belgique, alertés par sa femme, le trouvent un peu plus tard. Vivant. L’œil droit arraché, le nerf optique gauche sectionné. Soigné en Belgique, c’est en aveugle que Jean-Luc retourne deux ans plus tard à Buja.
« J’ai appris à la ligue Braille à travailler sur ordinateur grâce à la synthèse vocale. Je me suis lancé dans la communication. » En fondant une ASBL qui organise des campagnes d’infos et de sensibilisation pour ONG. Par exemple sur le sida. La com est le moteur de sa reconstruction. « Comme je ne savais plus lire, j’ai inventé des histoires pour les raconter à mes enfants. » Il tente un concours de scénario, gagne le premier prix. Puis se souvient d’un vieux compagnon d’études devenu réalisateur.
« J’ai reçu ce texte par mail, confirme Ivan Goldschmidt, et je me suis dit : il faut le faire. C’est une histoire universelle. » Ce fut surtout le parcours du combattant. Au bout du compte, un tournage d’un mois au Burundi, un financement conjoint Communauté française, Flandre, Affaires étrangères et Unesco, et l’élan bénévole de l’équipe du tournage. Les acteurs ont presque tous été recrutés sur place. Pour un résultat hurlant de vérité.
Cerise sur le gâteau : avec l’aide d’Ivan, l’ASBL de Jean-Luc a entrepris de former de jeunes Burundais aux métiers du cinéma. Revenu à Bruxelles, le héros malgré lui est par ailleurs devenu coach. Pour apprendre aux autres « à passer de subir avec peine à agir avec plaisir ».

avril 2014

Point de vue d’un spécialiste sur mon parcours …

Lors de la soirée ICF Belgium d’accueil du président dICF, un homme vient vers moi. Il s’agit de Philippe Rosinski, éminent coach et collègue de promotion l’ULB.

Voici son courrier et son point de vue sur mon parcours Merci Philippe et au plaisir

Bonjour Jean-Luc,

Je suis également ravi d’avoir pu faire ta connaissance (nous ne nous connaissions pas vraiment à l’époque ayant fait des études différentes malgré tout) et cela me ferait &galement plaisir de te rencontrer plus à l’aise. Tu as &galement un parcours remarquable et as dû faire preuve de beaucoup de courage, ce qui te donne l’expèrience et beaucoup de crédibilité pour accompagner les autres dans le changement.

Merci de renvoyer mon bonjour à JP Bkier si tu lui parles prochainement.

Meilleurs voeux,

Philippe

PS Les études d’ingénieur mènent vraiment à tout! (même si ce n’est pas en Polytech que j’ai appris mon métier de coach…)

Philippe Rosinski, Ir., MS, MCC

Rosinski & Company international network: www.philrosinski.com

Philippe’s books "Global Coaching" and "Coaching Across Cultures": www.GlobalCoaching.pro

avril 2014

Témoignage au féminin

Voici le témoignage d’une femme qui, comme beaucoup de femmes d’aujourd’hui, a vécu une période difficile dans sa vie d’employée/mère/épouse /responsable foyer … Difficile de porter toutes ces casquettes en même temps à notre époque sans se perdre …

Bonjour jean Luc,

Depuis trois mois ma vie à changer radicalement grâce à vous.

J’ai régulariser mes horaires à la + ou- normale ce qui me vaux des petites remarques de mon patron mais j’essaye de ne pas y prêter attention ou j’y répond avec réflexion et droiture.

Il me reste aussi la procédure de division de ma maison a gère .

Pour l’instant je gère bien et je suis de mieux en mieux.

Je n’oublie pas que vous été la si j’ai besoin de vous et je n’y manquerais pas.Bien à vous

I.

Merci à vous et bonne Continuation.

Le coaching … ça marche !

Jean-Luc

mars 2014

success story

Pour partage. Ivan Goldschmidt et moi travaillons ensemble sur un nouveau scénario de long-métrage depuis juin passé sur base d’une idée et d’écrits que je promène et muris depuis … 3-4 ans …

Le 13 mars dernier nous avons eu une aide à l’écriture de la part de la Communauté Française de Belgique pour un premier traitement ! Un soutien important. Notre histoire interpelle, tient la route … Un beau succès, une belle reconnaissance, un bel encouragement. Merci. Il ne nous reste « qu’à » écrire les dialogues et « qu’à » trouver des producteurs … Une nouvelle aventure qui commence ?

Jean-Luc

mars 2014

Tu ou vous ?

Depuis que je coache j’ai pris l’habitude de vouvoyer mes clients. En fait je tenais à garder un peu de distances avec eux. Il est vrai que, parfois, nos échanges amènent les coachés à aller vers leur intime et à le partager avec cette personne qui est entièrement à leur écoute et qui leur a garanti qu’elle n’en parlerait à personne. Je trouvais bien que le coach reste à sa place de coach et ne prenne pas celle de l’ami sympa qui écoute tout.

Et puis, début 2014, j’ai commencé à suivre cette formation en mentorat avec Yves Richez. Lui, il tutoie ces « clients ». Il insiste sur le fait que la relation mentor-mentoré (je n’aime pas trop le mot « menti ») peut être une relation intime et même qu’elle se doit d’être une relation intime …

C’est vrai. Pourquoi avoir peur que des relations professionnelles deviennent plus proches ? Qu’est-ce que je risque ? De me faire des amis ? J’assume le risque.

Donc, c’est décidé, je vais me lancer dans le TU. Qu’en pensez-vous ? Pardon … ! Qu’en penses-tu ?

mars 2014

Sans enjeux

La semaine passée une des participantes aux téléclasses de Coaching de Gestion me remercie pour mon animation des classes. Elle dit s’y sentir à l’aise « car il n’y a pas d’enjeux, pas de pression … ».

Ce mot résonne en moi. Pas d’enjeux ! Tout est là. Quel plaisir d’apprendre, de travailler, de vivre sans ces perpétuels enjeux qui nous mines ! Bien sûr il y a des gens qui ont besoin de compétitions mais sont-ils vraiment la majorité ?

Pourquoi mettre des pressions et des enjeux partout dans tout ce que nous faisons au quotidien ? Imaginez une école où les enfants apprendraient sans enjeux, juste pour le plaisir d’apprendre ?

Du coup je me suis excusé auprès de mon aîné si, parfois, sa mère et moi avons mis de la pression sur lui. Du coup, je commence toutes mes classes et mes coaching en précisant bien qu’il n’y a pas de challenge, que mes partenaires ne seront pas jugés, qu’ils peuvent se sentir à l’aise d’avancer à leur rythme et de faire des erreurs … Quelle libération !

Vous voulez vous lancer dans une formation, dans une transformation ? Regardez tout de suite ce que vous risquez si vous échouez. Analysez ces risques. C’est la meilleure façon de les remettre à leur place et de s’en débarasser. En connaissant bien les risques, vous pouvez partir à l’aise libre des enjeux pesants …

Bonne route. Jean-Luc + 322 465 57 00

février 2014

Développement de projets

Un exemple de développement de projets dans le cadre de l’action « Donne à voir » … Vous me verrez en fin du document pour la présentation du projet de construction d’un poulailler pour les enfants handicapés de la vue de l’école de Gihanga, Burundi.

http://vimeo.com/86773017

et pour le clip complet allez sur :

[youtube http://youtube.com/w/?v=7FbrNIavV-w]

Accompagner une entité dans son développement en étant à l’écoute de ses besoins, c’est toujours du coaching !!!

Jean-Luc jlpening

février 2014

Témoignage

Le témoignage dE. :

En 2010, j’ai choisi mon premier Coach Professionnel, Jean-Luc, pour sa résilience démontrée suite à sa perte

de la vue, brutale et accidentelle. Intuitivement, je sentais que cela m’aiderait dans l’acceptation de mon

handicap, que l’on ne peut voir puisqu’il s’agit d’un trouble mental.

L’empreinte que me laisse Jean-Luc et son coaching :

co-semer de l’engrais pour la croissance de mes plantes sans tirer dessus

ses interventions laser qui ramènent l’essentiel, en cours de séance

ce respect de la personne

cette absence totale de jugement et sa neutralité exemplaire

une efficience de Coach : le juste temps de parole placé là où cela aura un grand impact

inébranlablement posé et tellement efficace

Il voit et écoute au-delà des oreilles, il perçoit ma gestuelle pourtant invisible. Il comprend humblement

avec ses brillantes différentes formes d’intelligences.

E.

Merci Percevez-vous mon coeur qui bat et mes joues qui rougissent ? JL

février 2014

Témoignage de coachés

Extraits d’un témoignage de clients… Comment ne pas être touché ? Comment ne pas avoir envie d’accompagner encore et encore ? Merci à eux de ce retour …

« Jean-Luc,

Content de recevoir ce petit message de ta part. J’ai souvent pensé à toi ces derniers temps. Et encore aujourd’hui où je me remémorais ta réponse "C’est un investissement" à ma difficulté à ouvrir les cordons de la bourse pour payer notre recherche. Ce regard a été important pour moi. Et donc, aujourd’hui, je me disais que c’était vraiment vrai ! Oui, nous avons dépensé pas mal de sous. Mais nous sommes aussi sur le point de faire une très bonne affaire en achetant une propriété qui vaut beaucoup plus que le prix que nous paierons. Ca, c’est pour l’aspect financier.

L’autre aspect, le plus important, c’est que nous le sentons très, très bien. Nous sommes emballés ! Il y a eu des peurs, mais pas trop. Aujourd’hui, elles sont dépassées, au moins provisoirement, et il ne reste que l’enthousiasme et l’excitation. Là aussi, que de chemin parcouru ! Franchement, je crois que tu nous as apporté beaucoup. Entre autre avec ton regard positif, confiant et bienveillant. Merci, merci, merci !

J’espère que nous pourrons te voir et te recevoir un jour ou l’autre, avec Morena et les jeunes. J’ai même pensé à l’acquisition d’un tandem qui pourrait être bien sympa pour toi, pour des couples, pour des parents avec leurs enfants… Parce que le coin se prête à de belles ballades à vélo. S’il ne fait pas trop chaud !

Donc, pour répondre plus directement à tes questions :

– nous allons bien. Même plutôt très bien !

– nous en sommes à un grand tournant puisque nous avons enfin trouvé, il y a quelques jours, l’endroit où concrétiser notre projet ;

A dix jours près, nous serons partis en tout trois mois. Et trois mois, c’est la durée maximale que nous nous étions fixée au départ !

Merci aussi pour tes bons voeux ! A notre retour, nous te souhaitons… je ne sais pas, du succès dans tes nombreuses entreprises ? Beaucoup de retours positifs et nourrissants ? De continuer à inspirer ceux que tu croises sur ta route ? Par exemple, cette photo de toi que j’ai vue récemment, je ne sais plus exactement où, prise en Afrique (au Burundi j’imagine ?). Tu pédales énergiquement sur un tandem. On voit des enfants te regarder passer avec curiosité et amusement. Et bien cette photo m’inspire. Et j’imagine que tu as dû en inspirer plus d’un sur ta route.

… «

… Qu’est-ce que je fais avec cela sinon me sentir profondément touché … On continue ? JL

février 2014

Confiance, suite

Lors de son dernier atelier de formation en mentorat, Yves Richez a dit quelque chose qui m’a interpellé.

Il nous invitait tous à noter, conscientiser et actualiser quotidiennement nos apprentissages pour tenir notre rôle de mentor quand il a ajouté que de savoir qu’on apprend quelque chose de neuf et d’utile tous les jours donne confiance.

Mais, oui, bien sûr , c’est tout à fait cela … Prendre conscience qu’on apprend tous les jours du monde, de la vie, de nos erreurs, donne confiance. Confiance en soi, confiance en la vie … Un bel outil, une belle leçon de confiance et d’humilité.

Du coup (voir article précédent), j’ai ajouté un principe à la mise en confiance de mon fils par l’acceptation de ses erreurs : j’insiste, tous les jours, pour prendre un moment avec lui et pour lui demander ce qu’il a appris de sa journée. Pas uniquement ce qu’il a appris à l’école, mais ce qu’il a appris de ses relations avec les copains, de la nature, du monde qui l’entourre …

Et, juste pour le plaisir, je lui demande ce qu’il a aimé de sa journée et/ou à qui ou à quoi il a dit merci.

Un beau chemin vers la confiance et la sérénité, non ?

Qu’en pensez-vous ? Vous avez d’autres pistes ?

février 2014

La Dynamique du U

Hier, 5 février, j’ai organisé et participé à un atelier offert par ce cher Jean-Pierre Békier.

Il nous a fait le privilège de nous ouvrir à la dynamique du U … Quels moments ! Quels partages !

Ca a été très fort.

C’est encore un peu chaud pour que j’arrive à vous partager ce que j’ai compris mais je peux déjà vous dire que cela m’a amené à de nouveaux horizons : une ouverture vers du coaching d’entreprises, une ouverture illimitée vers la création et la recherche de solutions aux problèmes humains là où on ne va pas les chercher, … Sans compter une ouverture à l’intelligence collective et à son potentiel.

J’ai de nouveaux outils qui vont me permettre d’aller plus loin avec l’équipe de mon ONG, pour aller plus loin encore avec mes clients, pour aller plus loin avec mes enfants … A partager !

Merci encore Jean-Pierre et tous les participants pour votre disponibilité et vos attentions.

février 2014

Bien être partout

Etre coach-mentor n’est-ce pas être axé résultats et être bien dans le développement et le bien-être des autres ?

Je suis très fier de partager avec vous les avancées d’Antoinette, ma tendre épouse ! Elle aussi travaille dans le bien-être et, elle aussi, s’y sent bien.

A partager ! Jean-Luc

Article Femmes d’Aujourd’hui février 2014 .pdf

février 2014

Confiance, confiance

Il y a peu je me demandais ce que je devais transmettre à mon petit dernier pour qu’il soit prêt à affronter le monde quand il sera grand. Comment le préparer à un monde en plein changement ? Dans 10 ans devra-t-il être un bon informaticien ? Un bon mécanicien ? Y aura-t-il toujours des ordinateurs ? Y aura-t-il toujours des voitures ?… Impossible de savoir.

Alors, je suis arrivé à la conclusion qu’il y a une chose essentielle que je dois lui transmettre et qui lui permettra d’affronter le monde, tous les mondes : la confiance. Avec la confiance en soi on se sent bien, avec la confiance en soi on peut affronter toutes les situations.

Mais c’est quoi avoir confiance ? Ce n’est surtout pas se croire le plus beau, le plus fort … non, après réflexions, je me suis dit que c’est exactement le contraire : avoir confiance en soi c’est se laisser le droit à l’erreur …

Depuis lors j’apprends l’erreur à mon fils. Je lui apprends à la regarder comme elle est, un simple accident qu’on peut corriger.

Quand il revient de l’école avec, par exemple, un 7/10 (il a 8 ans) je regarde avec lui les 7 bonnes réponses ! Comment il a fait pour y arriver, comment il a fait pour réussir 7 fois. Et puis on regarde les 3 erreurs en déterminant ce qui s’est passé et comment il aurait pu faire pour les éviter. C’est tout, c’est simple et du coup, tous les professeurs aiment notre fils pour sa sérénité et sa joie de vivre … C’est gai, non ?